Anciens exploitants landais: les échanges se concrétisent
Il était question de voyages à la dernière section des anciens, mais aussi de la défense des retraites.
La rencontre des anciens exploitants, le 1er juin à la chambre d'agriculture des Landes avait pour principal objet de finaliser les échanges avec d'autres sections départementales. Échanges dont l'idée avait été lancée l'été dernier, à « poulet à la plage ». Pour rappel, les bénévoles qui étaient venus porter secours aux agriculteurs landais suite à la tempête Klaus, avaient été invités en remerciement à participer à cette manifestation.
Le premier échange concerne le voyage des anciens exploitants landais dans le Maine et Loire, du 19 au 26 juin. Une vingtaine de personnes est inscrite pour cette découverte de la région angevine, avec un arrêt au Puy du Fou. Organisé par les anciens du Maine et Loire, le périple proposera la découverte des richesses de cette région, dont l'agriculture : un haras, une carrière d'ardoise, une coopérative de production de fleurs, la ville d'Angers, etc. L'hébergement sera assuré par le réseau des anciens.
Le retour des Aveyronnais
Ce sera ensuite, du 23 au 28 août, l'accueil par les Landais des anciens de l'Aveyron. Séduits par le département, ceux-ci ont décidé de refaire le voyage, mais sur une semaine cette fois-ci. Un voyage sur mesure leur a été concocté par la section, avec des visites d'exploitations et de sites remarquables des Landes. Au programme sont ainsi prévues les visites de la région de l'Armagnac, du Pays d'Orthe, de la côte landaise, mais aussi de l'écomusée de Marquèze et du patrimoine de Dax Et une après-midi détente en centre aquatique.
L'offensive sur les retraites
Plus sérieux, la section a abordé le dossier de la réforme des retraites. Elle dénonce le non-respect par l'État du versement d'un montant de retraite à hauteur de 75 % du SMIC (il est toujours actuellement à 70 %). La FNSEA souhaite être plus offensive sur ce dossier. Concernant l'allongement de la durée de cotisations pour la retraite, la FNSEA reste attachée au système par répartition et souhaite qu'un minimum de retraite soit institué pour tous les retraités de l'agriculture. Le chiffre de 708 € mensuel a été évoqué.
Au sujet de la pénibilité au travail, la FNSEA souhaite intégrer la notion de « facteur de fatigue physique ». Elle souhaite également que les agriculteurs désirant s'arrêter avant l'àge légal pour des raisons physiques, sociales ou économiques soient accompagnés financièrement.
D. M.
Le premier échange concerne le voyage des anciens exploitants landais dans le Maine et Loire, du 19 au 26 juin. Une vingtaine de personnes est inscrite pour cette découverte de la région angevine, avec un arrêt au Puy du Fou. Organisé par les anciens du Maine et Loire, le périple proposera la découverte des richesses de cette région, dont l'agriculture : un haras, une carrière d'ardoise, une coopérative de production de fleurs, la ville d'Angers, etc. L'hébergement sera assuré par le réseau des anciens.
Le retour des Aveyronnais
Ce sera ensuite, du 23 au 28 août, l'accueil par les Landais des anciens de l'Aveyron. Séduits par le département, ceux-ci ont décidé de refaire le voyage, mais sur une semaine cette fois-ci. Un voyage sur mesure leur a été concocté par la section, avec des visites d'exploitations et de sites remarquables des Landes. Au programme sont ainsi prévues les visites de la région de l'Armagnac, du Pays d'Orthe, de la côte landaise, mais aussi de l'écomusée de Marquèze et du patrimoine de Dax Et une après-midi détente en centre aquatique.
L'offensive sur les retraites
Plus sérieux, la section a abordé le dossier de la réforme des retraites. Elle dénonce le non-respect par l'État du versement d'un montant de retraite à hauteur de 75 % du SMIC (il est toujours actuellement à 70 %). La FNSEA souhaite être plus offensive sur ce dossier. Concernant l'allongement de la durée de cotisations pour la retraite, la FNSEA reste attachée au système par répartition et souhaite qu'un minimum de retraite soit institué pour tous les retraités de l'agriculture. Le chiffre de 708 € mensuel a été évoqué.
Au sujet de la pénibilité au travail, la FNSEA souhaite intégrer la notion de « facteur de fatigue physique ». Elle souhaite également que les agriculteurs désirant s'arrêter avant l'àge légal pour des raisons physiques, sociales ou économiques soient accompagnés financièrement.
D. M.