Année positive pour la Coppac
Comme sur le plan national, la Coppac tire un bilan positif de la campagne 2 009 malgrès la tempête Klaus.
Créée en 1992, la coopérative des producteurs de palmipèdes Adour Chalosse constitue aujourd'hui un groupement de producteurs important au sein de la filière landaise. En 2009, la Coppac réunissait 118 associés coopérateurs basés dans les Landes et les cantons limitrophes, pour un volume de 580 045 canetons mis en place. En aval, le débouché de la structure est composé d'une dizaine d'entreprises de transformation.
À l'occasion de l'assemblée générale qui s'est tenue à Mugron le 29 juin, les dirigeants de la coopérative sont revenus sur les résultats d'une campagne 2 009 qui s'est avérée positive, malgré le contexte économique général. « Globalement l'année 2009 a été correcte pour notre filière, témoigne le président Marcel Saint Cricq. Le foie gras a confirmé son statut de valeur sûre au sein des produits festifs ».
Des aides disponiblesLa production de la coopérative a ainsi connu une progression de 8 000 canetons mis en place, malgré les dégàts occasionnés par la tempête du 23 janvier 2009 aux outils de production. « Les dossiers d'aide ont été réalisés de manière performante par nos techniciens et par les services de la chambre d'agriculture », se félicite Marcel Saint Cricq. En 2010, la production devrait connaître de nouveau une légère augmentation (environ 10 000 canards supplémentaires) afin de répondre aux attentes des clients.
Les responsables de la structure ont souhaité aussi revenir sur le dossier du passage en logements collectifs des ateliers de gavage. Ils ont rappelé qu'un tel investissement reste éligible au programme PMBE (plan de modernisation des bàtiments d'élevage), dans le cadre du volet « biosécurité ». La condition préalable à l'octroi de ce type de subvention demeure la réalisation du diagnostic sanitaire par les techniciens de la coopérative.
Outre le programme PMBE, depuis le mois de mars 2010, les producteurs aquitains ont accès à une aide aux investissements de transformation à la ferme. Pour la filière palmipède, cette subvention peut par exemple concerner les producteurs réalisant une transformation de leurs canards gras (conserverie) mais aussi souhaitant transformer leurs céréales en aliment. Il est à noter qu'en ce qui concerne la Coppac, plus de 14 % de la production des coopérateurs sont commercialisés en circuits courts. Fabien Brèthes
À l'occasion de l'assemblée générale qui s'est tenue à Mugron le 29 juin, les dirigeants de la coopérative sont revenus sur les résultats d'une campagne 2 009 qui s'est avérée positive, malgré le contexte économique général. « Globalement l'année 2009 a été correcte pour notre filière, témoigne le président Marcel Saint Cricq. Le foie gras a confirmé son statut de valeur sûre au sein des produits festifs ».
Des aides disponiblesLa production de la coopérative a ainsi connu une progression de 8 000 canetons mis en place, malgré les dégàts occasionnés par la tempête du 23 janvier 2009 aux outils de production. « Les dossiers d'aide ont été réalisés de manière performante par nos techniciens et par les services de la chambre d'agriculture », se félicite Marcel Saint Cricq. En 2010, la production devrait connaître de nouveau une légère augmentation (environ 10 000 canards supplémentaires) afin de répondre aux attentes des clients.
Les responsables de la structure ont souhaité aussi revenir sur le dossier du passage en logements collectifs des ateliers de gavage. Ils ont rappelé qu'un tel investissement reste éligible au programme PMBE (plan de modernisation des bàtiments d'élevage), dans le cadre du volet « biosécurité ». La condition préalable à l'octroi de ce type de subvention demeure la réalisation du diagnostic sanitaire par les techniciens de la coopérative.
Outre le programme PMBE, depuis le mois de mars 2010, les producteurs aquitains ont accès à une aide aux investissements de transformation à la ferme. Pour la filière palmipède, cette subvention peut par exemple concerner les producteurs réalisant une transformation de leurs canards gras (conserverie) mais aussi souhaitant transformer leurs céréales en aliment. Il est à noter qu'en ce qui concerne la Coppac, plus de 14 % de la production des coopérateurs sont commercialisés en circuits courts. Fabien Brèthes