Chute des prix des céréales
Les cours des céréales accusent, depuis début septembre, une nette tendance baissière à travers une excessive volatilité. Les prix sont captifs d'une hyper financiarisation et réagissent en fonction des marchés financiers.
Depuis la dernière semaine de septembre la baisse a pris des allures de chute libre à l'instar des bourses financières, baisse encore accentuée par la publication du rapport du Département à l'Agriculture américain.
En une semaine, les cours du blé tendre ont abandonné quelque 10 €, tombant jusqu'à 183 € pour du blé standard, rendu port de Rouen, le plus bas niveau noté depuis le début de la dernière campagne. Incohérence Cette volatilité s'exerce au mépris de fondamentaux équilibrés, avec notamment, l'occasion pour le blé français de renforcer sa compétitivité à l'exportation avec l'aide de la baisse de l'euro par rapport au dollar.
Dans cette conjoncture particulière, la hiérarchie habituelle des prix des grandes céréales est bousculée, le mais et même l'orge fourragère étant plus chers que le blé.
En une semaine, les cours du blé tendre ont abandonné quelque 10 €, tombant jusqu'à 183 € pour du blé standard, rendu port de Rouen, le plus bas niveau noté depuis le début de la dernière campagne. Incohérence Cette volatilité s'exerce au mépris de fondamentaux équilibrés, avec notamment, l'occasion pour le blé français de renforcer sa compétitivité à l'exportation avec l'aide de la baisse de l'euro par rapport au dollar.
Dans cette conjoncture particulière, la hiérarchie habituelle des prix des grandes céréales est bousculée, le mais et même l'orge fourragère étant plus chers que le blé.