Gen’Adour fait le dos rond
La coopérative d’insémination, qui couvre le Gers, les Landes et le Pays basque, continue de souffrir de l’érosion des cheptels bovins. Pour durer, elle va devoir adapter son modèle à ce potentiel d’activité amoindri.
Comment enrayer la spirale négative? Voilà une question qui taraude bien des organismes gravitant autour des filières bovines, en perte de vitesse dans le Sud-Ouest depuis de longues années maintenant. La coopérative d’insémination Gen’Adour est particulièrement exposée à cette problématique. À l’occasion de son assemblée générale, le 20 février dernier à Caussens, dans le Gers, les responsables ont déploré une nouvelle fois un bilan d’activité en baisse.