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Kiwi : le dépérissement lié aux excès d’eau et à la structure du sol
Un travail de recherche, conduit par l’agronome Marianne Avignon, permet de mieux comprendre les mécanismes de ce phénomène qui affecte les vergers du bassin de l’Adour.
Un travail de recherche, conduit par l’agronome Marianne Avignon, permet de mieux comprendre les mécanismes de ce phénomène qui affecte les vergers du bassin de l’Adour.

Le 11 avril dernier, l’agronome Marianne Avignon a soutenu sa thèse sur les dépérissements en vergers de kiwis. Cette étape a marqué l’aboutissement d’un projet démarré par le BIK (Bureau national interprofessionnel du kiwi) il y a trois ans. Celui-ci a bénéficié d’un accompagnement dans le cadre du dispositif phare de la recherche partenariale Cifre (Conventions industrielles de formation par la recherche). Ainsi, il a fait l’objet d’une collaboration entre le BIK et l’unité mixte de recherche Emmah (Environnement méditerranéen et modélisation des agro-hydrosystèmes) de l’Inrae, avec le soutien de la Région.