La formation "Certiphyto" à l'Institut rural de Mont
Une dizaine d'agriculteurs a effectué, en début de semaine la formation « certiphyto ». Son objectif est d'informer le monde agricole sur les nouveautés réglementaires relatives au plan « éco phyto », instauré au niveau européen. Comme le précisait l'un des stagiaires : « Ce dont nous avons besoin, c'est de formation et d'informations ».
Francis Lanusse, le directeur de la MFR de Mont, rappelait les trois aspects majeurs de cette formation. « Il importe tout d'abord de sensibiliser les agriculteurs à la prévention des risques tant au niveau des produits que des personnes et des sols. Dans un deuxième temps, il s'agit d'entamer une réflexion au sujet d'une alternative aux traitements actuels ». En effet, en 2018, chacun aura dû effectuer des efforts afin de réduire sa consommation de produits phytosanitaires de 50 % par rapport à aujourd'hui. Mais, comme le déclarait un des participants : « Ce ne sont pas les 20 premiers mais les 30 autres à suivre qui risquent d'être beaucoup plus difficile à atteindre et à respecter ! Il faut trouver des méthodes pour réduire les doses, trouver d'autres molécules ».
Le troisième objectif de cette formation est de trouver des solutions tout en respectant l'environnement. Pour cela, outre les cours théoriques, délivrés par Denis Lavandier et Bertrand Deghinage, et les interventions des agents de la MSA (sécurité), d'Arvalis (méthodes culturales) et de la FDCUMA (entretien du matériel), les stagiaires ont effectué des visites sur exploitation. Deux journées durant, tout a été passé au peigne fin : aires de lavage, locaux phytosanitaires, enregistrement des produits « L'année 2010, ajoutait le directeur de la MFR, marque la fin d'une année expérimentale et la mise en place de ce type de stages ». Ces derniers, pris en charge par Vivea sont d'ailleurs appelés à être développés. « En effet, les nouvelles normes ne concernent pas uniquement les utilisateurs mais, également les utilisateurs, les distributeurs, les applicateurs et les acheteurs. Tous vont devoir passer par cette formation ».
La session de septembre vient de s'achever mais on pense déjà à d'autres à venir en novembre et décembre. L'enjeu étant de taille, cette initiative rencontre un franc succès. Pour tout renseignement et inscriptions : 05 59 67 64 52 Philippe Delvallée
Francis Lanusse, le directeur de la MFR de Mont, rappelait les trois aspects majeurs de cette formation. « Il importe tout d'abord de sensibiliser les agriculteurs à la prévention des risques tant au niveau des produits que des personnes et des sols. Dans un deuxième temps, il s'agit d'entamer une réflexion au sujet d'une alternative aux traitements actuels ». En effet, en 2018, chacun aura dû effectuer des efforts afin de réduire sa consommation de produits phytosanitaires de 50 % par rapport à aujourd'hui. Mais, comme le déclarait un des participants : « Ce ne sont pas les 20 premiers mais les 30 autres à suivre qui risquent d'être beaucoup plus difficile à atteindre et à respecter ! Il faut trouver des méthodes pour réduire les doses, trouver d'autres molécules ».
Le troisième objectif de cette formation est de trouver des solutions tout en respectant l'environnement. Pour cela, outre les cours théoriques, délivrés par Denis Lavandier et Bertrand Deghinage, et les interventions des agents de la MSA (sécurité), d'Arvalis (méthodes culturales) et de la FDCUMA (entretien du matériel), les stagiaires ont effectué des visites sur exploitation. Deux journées durant, tout a été passé au peigne fin : aires de lavage, locaux phytosanitaires, enregistrement des produits « L'année 2010, ajoutait le directeur de la MFR, marque la fin d'une année expérimentale et la mise en place de ce type de stages ». Ces derniers, pris en charge par Vivea sont d'ailleurs appelés à être développés. « En effet, les nouvelles normes ne concernent pas uniquement les utilisateurs mais, également les utilisateurs, les distributeurs, les applicateurs et les acheteurs. Tous vont devoir passer par cette formation ».
La session de septembre vient de s'achever mais on pense déjà à d'autres à venir en novembre et décembre. L'enjeu étant de taille, cette initiative rencontre un franc succès. Pour tout renseignement et inscriptions : 05 59 67 64 52 Philippe Delvallée