L’Arepsa veille à la bonne santé du cheptel porcin du Sud-Ouest
Maladie d’Aujeszky, SDRP, brucellose, introduction d’animaux étrangers, diarrhée épidémique et virus influenza : l’Association régionale porcine de promotion sanitaire (Arepsa) est sur tous les fronts, malgré la baisse des subventions et des cotisations.
Les sujets d’inquiétude quant à la qualité des élevages porcins sont multiples, et l’Association régionale porcine de promotion sanitaire (Arepsa), présidée par Jean-François Renaud, s’en fait récemment l’écho, multipliant les contrôles dans les exploitations. La structure de veille sanitaire couvre neuf départements en Aquitaine et en Midi-Pyrénées, soit 2.187 sites ou 38.456 truies (343.450 places d’engraissement). Néanmoins, 73% des sites et 83% des truies sont recensés en Aquitaine (65% dans les Pyrénées-Atlantiques) qu’il s’agisse des engraisseurs, des naisseurs engraisseurs ou du post-sevrage.