Lur Berri dénonce les attaques dont elle fait l'objet
Le président de Lur Berri, Sauveur Urrutiaguer, et son directeur général, Olivier Gémin, dénoncent dans un communiqué de presse du 21 mai « les propos infondés et les attaques portant gravement atteinte à la responsabilité de la coopérative Lur Berri»
Dans ce communiqué, Lur Berri conteste « les attaques irresponsables et mensongères » d'acteurs du secteur de l'agroalimentaire, qui tiennent des propos irrespectueux envers la coopérative, ses salariés et ses adhérents. « Une situation de crise n'autorise pas toutes les dérives. Chacun doit mesurer ses propos. Nous n'endosserons pas les calomnies que quelques-unes font peser sur notre organisation, nos adhérents et nos salariés, ce n'est pas digne d'acteurs économiques responsables », affirme Sauveur Urrutiaguer. Les deux responsables assurent que « Lur Berri n'a commis aucune faute ». La coopérative a été indirectement victime des agissements frauduleux subis par la société Spanghero en raison des liens juridiques qui l'unissaient à cette dernière. C'est pourquoi Lur Berri a déposé plainte contre X en raison desdits agissements.
La coopérative se dit « victime collatérale de l'affaire de la viande de cheval » et rappelle qu'elle a aidé au redressement de la société Spanghero « jusqu'au bout de ses possibilités, qui sont celles d'une coopérative régionale ». Elle a soutenu financièrement l'entreprise ces derniers mois, notamment pour assurer les salaires de ses employés. « Nous avons beaucoup investi et sommes allés au bout de ce que peut supporter notre organisation » précise Sauveur Urrutiaguer.
Rappelons qu'en 2009, Lur Berri avait racheté Spanghero dans une situation de quasi-faillite. La coopérative a depuis investi et réorganisé l'entreprise dont le résultat était revenu à l'équilibre en 2012. Les événements récents sont venus mettre un terme brutal aux efforts des salariés de Spanghero et de Lur Berri pour redresser l'entreprise. « Nous étions tout juste parvenus à retrouver l'équilibre en 2012. C'est 4 ans d'efforts partagés avec les salariés qui ont été anéantis en quelques semaines, cette issue est douloureuse pour nous tous », commente Olivier Gémin, directeur général de Lur Berri qui conclut que l'avenir de Spanghero est entre les mains de l'administrateur judiciaire. Lur Berri reste toutefois attentive à la situation et se prépare à participer, le cas échéant, à l'aide au reclassement qui est désormais sa priorité. « Toutes nos filiales sont actuellement mobilisées pour recenser les possibilités de reclassement interne », précise Olivier Gémin.
La coopérative se dit « victime collatérale de l'affaire de la viande de cheval » et rappelle qu'elle a aidé au redressement de la société Spanghero « jusqu'au bout de ses possibilités, qui sont celles d'une coopérative régionale ». Elle a soutenu financièrement l'entreprise ces derniers mois, notamment pour assurer les salaires de ses employés. « Nous avons beaucoup investi et sommes allés au bout de ce que peut supporter notre organisation » précise Sauveur Urrutiaguer.
Rappelons qu'en 2009, Lur Berri avait racheté Spanghero dans une situation de quasi-faillite. La coopérative a depuis investi et réorganisé l'entreprise dont le résultat était revenu à l'équilibre en 2012. Les événements récents sont venus mettre un terme brutal aux efforts des salariés de Spanghero et de Lur Berri pour redresser l'entreprise. « Nous étions tout juste parvenus à retrouver l'équilibre en 2012. C'est 4 ans d'efforts partagés avec les salariés qui ont été anéantis en quelques semaines, cette issue est douloureuse pour nous tous », commente Olivier Gémin, directeur général de Lur Berri qui conclut que l'avenir de Spanghero est entre les mains de l'administrateur judiciaire. Lur Berri reste toutefois attentive à la situation et se prépare à participer, le cas échéant, à l'aide au reclassement qui est désormais sa priorité. « Toutes nos filiales sont actuellement mobilisées pour recenser les possibilités de reclassement interne », précise Olivier Gémin.