Kiwis
Le BIK cherche à fructifier ses recherches pour protéger les vergers
En parallèle de celle de promouvoir le petit fruit ovale, une mission essentielle entreprise par le BIK repose sur l’expérimentation, notamment sur la micro-injection et les différentes techniques d’irrigation des vergers.
En parallèle de celle de promouvoir le petit fruit ovale, une mission essentielle entreprise par le BIK repose sur l’expérimentation, notamment sur la micro-injection et les différentes techniques d’irrigation des vergers.
Depuis quelques années, les équipes du BIK multiplient les essais notamment autour du dépérissement des vergers, un phénomène grave et relativement complexe.
À ce sujet, le BIK a mis en place une thèse intitulée «Compréhension des mécanismes du dépérissement des vergers de kiwis en France et recherche de solutions de remédiation». L’hiver dernier, de nouveaux essais ont été mis en place et le BIK a candidaté dans le cadre d’un appel à projet Casdar pour rechercher des financements complémentaires.
Dans cette thèse, une cartographie des parcelles a été déployée — grâce à un suivi cartographique — afin d’observer l’évolution du dépérissement via des images satellites. Tous les kiwiculteurs peuvent ainsi faire partie de ces observations. «Pour cela, il suffit de renseigner ses références cadastrales de ses parcelles à Marianne Avignon», explique Adeline Gachein, directrice du BIK.